BUZZ Dans la série onze de rêve sauce championnat suisse, j'ai demandé un numéro 10. Comme d'hab, votez dans la barre de droite.
Hakan Yakin
Parce qu'il est un peu trop frileux, Murat utilise son frangin à la pointe de l'attaque lucernoise. Ou peut-être est-ce parce que l'ancien joueur de Saint-Gall, GC, Bâle, Stuttgart, Galatasaray, YB, Al Gharrafa et même le PSG quelques semaines ne se replie pas assez défensivement... Bref, toujours est-il que pour nous, Hakan est un numéro 10. Le type capable de te faire marquer Gimenez et Rossi en Champions League et faire passer Mario Cantaluppi pour un bon relanceur ("donne la moi, j'm'occupe du reste!"). Le genre de gars qui fait aussi marquer Frei en Nati. En gros, une patte gauche qui fait la diff', l'un des plus grands talents qu'a connu le foot suisse, mais un talent un peu gâché par quelques mauvais choix, un caractère un peu particulier et un côté un peu fainéant qui a direct sauté aux yeux de coach Vahid!
Granit Xhaka
Et dire que ce petit con n'a que 19 ans. Champion du monde avec les M17 il y a peu, titulaire indiscutable à Bâle et promu meneur de jeu d'une Nati en mode rougets, le gamin à une trajectoire inversement proportionnelle à celle de Ludovic Magnin, c'est à dire fulgurante. Talentueux au possible, juste dans ses choix, très bon pour trouver l'intervalle entre milieu et défense, le jeune Granit incarne tout simplement l'avenir réjouissant d'une Nati à qui il ne reste peut-être plus qu'à se séparer d'Hitzfeld. Mais c'est un autre débat.
Goran Obradovic
Parce que Feindouno n'a pas forcément convaincu sur la durée (et qu'il n'est pas qualifié, aussi!) et parce que Goran est tout simplement plus complet et peut également venir aider Serey Dié dans l'adversité, le Serbe figure dans notre sélection des meilleurs milieux offensifs du pays. A bientôt 40 ans (on exagère à peine) Obradovic tient peut-être la forme de sa vie. A croire que l'air du canton à des vertus et que Xavier Gravelaine n'est pas resté assez longtemps pour en profiter!
Alexander Farnerud
Ancien milieu de couloir reconverti par Christian Gross dans l'axe, le Suédois est tout simplement le maître à jouer des Bernois. Avec son activité, il compense le rendement offensif minimaliste de Silberbauer, le Danois qui ne monte jamais. Bon des deux pieds, le frère de Pontus (remember Monaco) a peut-être un seul défaut majeur: il croque! Seulement 2 pions enfilés pour pas mal de ratés.
Hakan Yakin
Parce qu'il est un peu trop frileux, Murat utilise son frangin à la pointe de l'attaque lucernoise. Ou peut-être est-ce parce que l'ancien joueur de Saint-Gall, GC, Bâle, Stuttgart, Galatasaray, YB, Al Gharrafa et même le PSG quelques semaines ne se replie pas assez défensivement... Bref, toujours est-il que pour nous, Hakan est un numéro 10. Le type capable de te faire marquer Gimenez et Rossi en Champions League et faire passer Mario Cantaluppi pour un bon relanceur ("donne la moi, j'm'occupe du reste!"). Le genre de gars qui fait aussi marquer Frei en Nati. En gros, une patte gauche qui fait la diff', l'un des plus grands talents qu'a connu le foot suisse, mais un talent un peu gâché par quelques mauvais choix, un caractère un peu particulier et un côté un peu fainéant qui a direct sauté aux yeux de coach Vahid!
Granit Xhaka
Et dire que ce petit con n'a que 19 ans. Champion du monde avec les M17 il y a peu, titulaire indiscutable à Bâle et promu meneur de jeu d'une Nati en mode rougets, le gamin à une trajectoire inversement proportionnelle à celle de Ludovic Magnin, c'est à dire fulgurante. Talentueux au possible, juste dans ses choix, très bon pour trouver l'intervalle entre milieu et défense, le jeune Granit incarne tout simplement l'avenir réjouissant d'une Nati à qui il ne reste peut-être plus qu'à se séparer d'Hitzfeld. Mais c'est un autre débat.
Goran Obradovic
Parce que Feindouno n'a pas forcément convaincu sur la durée (et qu'il n'est pas qualifié, aussi!) et parce que Goran est tout simplement plus complet et peut également venir aider Serey Dié dans l'adversité, le Serbe figure dans notre sélection des meilleurs milieux offensifs du pays. A bientôt 40 ans (on exagère à peine) Obradovic tient peut-être la forme de sa vie. A croire que l'air du canton à des vertus et que Xavier Gravelaine n'est pas resté assez longtemps pour en profiter!
Alexander Farnerud
Ancien milieu de couloir reconverti par Christian Gross dans l'axe, le Suédois est tout simplement le maître à jouer des Bernois. Avec son activité, il compense le rendement offensif minimaliste de Silberbauer, le Danois qui ne monte jamais. Bon des deux pieds, le frère de Pontus (remember Monaco) a peut-être un seul défaut majeur: il croque! Seulement 2 pions enfilés pour pas mal de ratés.
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