FOOT REGIO Invaincu jusqu’ici, Martigny, surprenant leader de 1ère ligue, accueillait Meyrin, gros favoris à la promotion dans le chaudron d’Octodure. Un match de gala qui fera regretter aux absents et autres amateurs de stands de canapé et de bains moussants leur choix de se rendre à la Foire du Valais. Enfin… finalement j’ai aussi apprécié pouvoir oublier ce match, en me rendant au Comptoir après la rencontre !
J’ai aimé :
- Le stand Alpic pour leur animation jet d’eau…, enfin surtout pour leur vin et leur nourriture gracieusement offerts.
- Le stand Amstein et ses 300 sortes de bières.
- Le stand Liqueur Morand et ses abricotines-abricots.
- Les stands Favre Vins, Giroud Vins, Jean-René Germanier, …
- La fondue servie au Chalet.
- Croiser pleins de gens que j’avais plus revu depuis… le dernier comptoir ou Carnaval pour les plus récents.
Je n’ai pas aimé :
- Quand il y avait trop de monde pour commander aux différents stands de « remontants ».
- Les chaises Descartes exposées… (oui je l’ai regardé, car ma copine en veut des nouvelles, comme quoi ils ne font pas que de la figuration ces stands).
- Quand on nous a obligé à engloutir notre fondue moite-moite en 6e vitesse car il fallait fermer.
- Quand ils nous ont aussi viré de l’Espace Gourmand.
- La rencontre Martigny – Meyrin en plein milieu de comptoir, pourquoi pas la déplacer la semaine précédente ou à 22h comme les gros matches du championnat espagnol… Joueurs et spectateurs s’en seraient félicités.
Ah oui la rencontre, je l’avais oubliée, un événement, donc, secondaire en cette période de l’année à Martigny !
J’ai aimé lors de ce match :
- Profiter de pouvoir parfaire mon bronzage, certes toujours bien blanc, lors de ce dernier week-end très estival.
- James Derivaz ordonnant à ses joueurs : « Concentrez-vous sur le jeu, pas sur l’arbitre, c’est un nul, il est à la rue », faut dire qu’il n’avait pas tort.
- Les nouvelles annonces publicitaires lorsqu’un joueur du Martigny-Sports est blessé à l’image de ce qui se fait déjà à Tourbillon : « La pharmacie Créatine (nom fictif connu de la rédaction) soigne nos joueurs ». A quand une annonce publicitaire : « La production de films Vaseline (nom fictif connu de la rédaction) vous offre cette simulation pour obtenir un penalty » ?
- Cette jeune équipe de Martigny très volontaire et solide défensivement.
- Les deux gros sauvetages du gardien remplaçant de Martigny, Jonathan Fusco, en fin de rencontre pour préserver le résultat nul.
- Ce match nul (double sens ?), qui permet à Martigny de conserver la tête du championnat.
Je n’ai pas aimé lors de match :
- La rare passion qui entoure le club. On approchait difficilement les 100 individus au Stade d’Octodure. La Foire ne devant pas être une excuse car la majorité des personnes présentes y étaient déjà avant et y sont sûrement retournées après la rencontre. Le leader de 1ère ligue mériterait mieux.
- Les relances approximatives et le nombre de ballons perdus par les joueurs de Martigny. On aurait dit que les âmes de Nwaneri, Skaljic, Mijadinoski et Ogararu planaient sur les joueurs martignerains. Heureusement que les attaquants meyrinois étaient des branles devant le but.
- L’arbitrage a contretemps pour les deux équipes. Des coups de sifflets aléatoires préjudiciables, heureusement, pour les deux équipes
- Le manque d’allant offensif de l’équipe valaisanne. Si la défense meyrinoise paraissait lourde, ses largesses ne furent que peu exploitées, car lors de leurs offensives, ils n’étaient que trois martignerains à poser leurs crampons dans le camp des frontaliers. A 3 contre 7, difficile de prendre une défense à défaut, et pourtant Martigny y est parvenu à quelques reprises.
- Le peu de réussite de Berisha durant la rencontre. Il a certes ouvert le score, mais l’attaquant de Martigny aurait pu ou dû scorer l’une ou l’autre de ses grosses occases.
- La claquette du gardien Zingg, pourtant excellent jusque là, hors de sa surface de réparation. Si certains disent que sa « Thierry Henry » n’en était pas une, d’où nous étions placé cette faute de main paraissait évidente. Maintenant si cet arbitre la siffle, sous conseil du juge de ligne, il est probable que le dernier rempart de Martigny n’ait effectivement pas touché le cuire. Encore qu’à 10, pendant plus de 20 minutes, les conséquences auraient pu être toutes autres pour les Valaisans.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire