HUMEUR Ah quand même! Après trois Ballons d'Or attribués logiquement, la bonne vieille routine de l'incompréhension totale est de retour. Comme quoi il suffit à nouveau de bien jouer au foot pour être sacré meilleur joueur mondial de l'année...
Hristo Stoichkov en 1994, Rivaldo en 1999, Ronaldo en 2002, Ronaldinho en 2005 et Cannavaro en 2006 ça vous dit quelque chose? Tant de joueurs qui ont hérité d'un Ballon d'Or que tous accordaient à un autre joueur bien plus méritant. Certes, il ne faut pas dénigrer l'immmense talent de Lionel Messi mais faut-il rappeler les critères du couronnement suprême? Clairement...
Si Léo est, pour la deuxième fois consécutive, Ballon d'Or France Football, il ne le doit qu'à son talent! Un critère normalement bien trop insuffisant pour remporter le trophée... Quart de finaliste de la Coupe du Monde avec l'Argentine où le petit lutin fut transparent, demi-finaliste de la Ligue des Champions mais tout de même vainqueur de la Liga, il ne tient pas la comparaison face à ses deux derniers rivaux (dans la course au trophée) Xavi ou Iniesta vainqueurs de la Coupe du Monde avec l'Espagne. Ce n'est non plus pas le cas avec le batave Wesley Sneijder, auteur d'un quintuplé avec l'Inter et finaliste de la Coupe du Monde... A n'y rien comprendre!
Le critère du palmarès de l'année a donc complètement été omis et ce n'est pas juste. Pour la cohérence, on repassera! Bravo les électeurs, c'est vous les champions... de la connerie!
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